Entretien avec Cécile Gans

Cécile Gans, parlez-nous de vous et de votre parcours photographique. Comment la photographie est-elle entrée dans votre vie ?
Comme beaucoup de monde j’aimais beaucoup « faire des photos ». Trouvant que j’avais « un œil », mon mari m’a offert mon premier Reflex et j’avoue que ce fut pour moi une vraie révélation. C’est là que j’ai commencé à « faire de la photo », à m’intéresser à la composition, à me plonger dans la technique et à lire des ouvrages, à voir des expos…

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Cécile Gans

Quelle place la photographie a-t-elle dans votre quotidien ?
La photo « nature » occupe tous mes weekends, une grande partie de mes vacances et beaucoup de mes soirées !

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Cécile Gans : L’année des petits mondes

Quels sont les photographes ou artistes qui vous inspirent dans votre travail ?
Tous !! S’il faut absolument donner des noms, certains sont incontournables et je ne vais pas être originale en citant Doisneau, Ronis, Cartier-Bresson, Steve Mc Curry et en nature Vincent Munier, Yann Arthus Bertrand, Gilles Martin… et tant d’autres !

Comment avez-vous découvert notre plateforme d’autoédition CALVENDO ?
Sur Internet, au gré de mes « pérégrinations » !

Qu’est-ce qui vous a incité à rejoindre les auteurs CALVENDO ?
J’ai toujours aimé faire des calendriers, j’en avais fait par ailleurs, mais le concept « Calvendo » m’a plu.

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Vous présentez chez Calvendo essentiellement des calendriers sur les thèmes de la macro, de la nature. Pourquoi un tel choix ?
J’ai une passion pour la nature, et dès que je peux, je m’échappe pour me consacrer principalement à la macro et à la proxy photographie. Même si j’aime aussi beaucoup faire du paysage, je pense que c’est par la macro que je peux faire passer le plus de « messages », montrer combien la nature est belle et pourquoi il est important de la préserver.

Comment avez-vous débuté vos photos de macro et quels conseils donneriez-vous à ceux et celles qui souhaitent tenter une telle expérience ?
Avant même d’avoir un Reflex, j’ai cherché à faire des gros plans d’insectes et de fleurs. Dès que j’ai pu, j’ai fait l’acquisition d’un objectif spécifique pour la macro, et j’avoue que je ne le regrette pas. Après on progresse au fur et à mesure du temps. Je pense qu’il est important d’être à l’écoute des conseils que l’on reçoit, ne pas avoir peur de montrer son travail, savoir se remettre en question, s’enrichir du travail des autres photographes, et surtout bien penser la composition de ses images, c’est capital.

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Entretien avec Beatrice Biewer Photographe locale, talent global

Beatrice Biewer est une « bio-photographe », entendez par là une photographe de la biodiversité et des circuits courts : sa pratique photographique s’attache à son environnement local et ses photos sont diffusée « globalement » avec Calvendo.

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Entretien avec une amoureuse de la nature.

Comment la photographie est-elle entrée dans votre vie ?

J’ai commencé la photographie à 20 ans pendant mes études de Design (Création de bijoux) à Schwäbisch Gmünd en Allemagne. 37 ans ont passé, pendant lesquels j’ai travaillé une bonne dizaine d’années dans un magasin photo. Après une longue pause, j’ai repris la photo en 2010. De l’argentique, je suis passée au numérique. Ce fut un nouveau départ m’ouvrant des possibilités quasi infinies, tant dans la prise de vue qu’au post-traitement.
Depuis quelques années, je propose des calendriers chaque année… en autoédition, et ça plaît beaucoup ! Je suis tombée par hasard – enfin je pense qu’il n’y a pas de hasard – sur le site Calvendo en France. Je suis tombée sous le charme du concept. Et comme je parle parfaitement allemand pour être d’origine allemande, j’ai proposé des projets dans les deux pays et dans différents formats, projets qui ont presque tous été approuvés.

Capture d’écran 2014-12-19 à 15.41.20Beatrice Biewer, Lieux de quiétude Continuer la lecture