À ne pas rater cet été : la photographie fait son festival !

Voici une petite sélection de festivals de photographie !

1er au 30 juin 2016 : Rendez-vous au Festival Photo MAP Toulouse 2016

La photographie française y est à l’honneur avec 75 expositions, 3500 photographies exposées et 21 talents récompensés dans le cadre de la Bourse MAP.

Le festival toulousain qui a débuté en 2008 est une scène ouverte aux jeunes talents de la photographie. Le thème de cette année « Une photographie française » pose une question centrale : « Existe-t-il une écriture photographique française ? »

L’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles y est aussi représentée par huit jeunes diplômés, Marguerite Bornhauser, Olivier Culmann, Cyril Hatt, Romain Laurendeau, Jean-Claude Coutasse et Gérard Rondeau qui exposeront des travaux divers sur la société, la politique, l’art et l’histoire.

4 juin au 30 septembre 2016 : Découvrez la 13e édition du plus grand festival photo de France en plein air : le Festival La Gacilly photo.

Il vous accueille dans le village de La Gacilly, en Bretagne et transforme les jardins, les venelles et les murs des habitations du village en véritables galeries photographiques.

Cette année, l’accent sera mis la photographie japonaise, mais aussi sur le thème de l’océan, car le festival souhaite également sensibiliser les nombreux visiteurs aux enjeux environnementaux de notre planète. Avec 31 expositions, plus de 300 000  visiteurs sont attendus.

4 juillet au 25 septembre : Les rencontres d’Arles

Anciennement nommées Rencontres internationales de la photographie d’Arles,  ce festival estival annuel de photographie, fondé en 1970, par le photographe arlésien Lucien Clergue, l’écrivain Michel Tournier et l’historien Jean-Maurice Rouquette, est d’envergure internationale et a bien souvent eu un rôle de tremplin pour la photographie et la création contemporaine.

La semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles se tiendra du 4 au 10 juillet et proposera, pour cette 47e édition, des évènements axés sur l’art de la photographie au sein de nombreux lieux historiques de la ville : (soirées, signatures de livres, projections nocturnes, visites d’expositions, débats, colloques,  etc.). Les diverses expositions qui ont lieu en collaboration avec des musées et des institutions françaises et étrangères se prolongeront jusqu’au 25 septembre.

De nombreux thèmes vous attendent, entre autres l’Afrique qui sera mise à l’honneur de façon décalée, pop, humoristique et surprenante.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les festivals de la photographie professionnelle 2016 : vous trouverez une liste non exhaustive ici.

Donnez-nous votre avis !

VOTRE AVIS nous importe et nous aide à mieux comprendre vos souhaits et vos attentes vis-à-vis de CALVENDO. C’est pourquoi nous nous réjouissons de CHAQUE VOIX qui participera au sondage que nous avons conçu pour vous.

Cliquez ici ! C’est très simple, rapide et anonyme !

Soumettez vos critiques éventuelles, positives ou négatives au sujet de la plateforme, de notre Éditeur de mise en page, de nos divers services (Support, Jury, Blog, page Facebook, Newsletter, tutoriels, etc.) et autres outils (FAQ, Infothèque,…) mis à votre disposition.
Communiquez vos commentaires, vos demandes. Nous sommes à l’écoute  et pourrons améliorer nos services en conséquence.

Plus les participants à ce sondage seront nombreux, plus les résultats seront proches de la réalité.

La parole est donc à vous et le jeu en vaut la chandelle ! À vos souris !

Merci par avance de votre soutien et engagement.

Entretien avec Dominique Leroy

1063770_677921878890847_1578298091_o

Pouvez-vous vous présenter, nous expliquer comment la photographie est entrée dans votre vie et nous décrire votre parcours photographique ?

Originaire de Nîmes, j’ai anoncé à l’âge de 10 ans à mon père que je voulais être photographe. J’ai été marqué par les gestes de mes grands-parents, photographe amateur et peintre. Les albums de Tintin aussi, «ce reporter-voyageur» dont j’enviais la vie et à qui je rêvais de ressembler, m’ont aussi inspirés. Mon père ingénieur n’y croyait guère et me poussait à faire des études. À une semaine de mon examen de kiné, j’ai abandonné en dernière année et décidé de passer un CAP photographie. Ensuite, j’ai enchainé sur un BTS, puis passé quelques mois comme laborantin, filmeur sur les plages, dans les restaurants, boites de nuit, mariages, baptêmes et galas de danse.

Mon objectif premier était de voyager, de faire des photos et de voir des courses de Formule 1. Mon père était un ancien pilote amateur, fou de bagnoles et de F1. Alors il m’a accompagné à mes débuts au bord des circuits. J’essayais alors de vendre mes clichés à des magazines comme Auto-hebdo, Échappement, ainsi qu’à des agences. J’en ai bavé ensuite. J’ai tenté d’intégrer des agences, mais cela m’a rapidement énervé. Je suis resté deux ans chez Sipa Presse puis deux mois chez Vandystadt. Finalement, j’ai fait toute ma carrière en free-lance, en tant qu’indépendant et ai donc profité de mon entière liberté… à l’image d’un Che Guevara.  Continuer la lecture