Youhou, l’Avent a commencé et nous ouvrons grands nos yeux sur les jours et les semaines qui arrivent ! Vous devriez en faire autant, parce que notre calendrier de l’Avent vous réserve de nombreuses surprises.
Notre première image provient du calendrier Sweet Wildlife de Silvio Schoisswohl. L’auteur nous montre ainsi que les talentueux photographes de la nature ne font pas que des photos de paysages.
Comment se porte Calvendo ? Voilà une question qui n’est pas innocente. Et pour y répondre, nous avons tendu l’oreille du côté des experts qui ont attentivement examiné notre plateforme de publication de calendriers. Depuis son lancement en automne 2012, nombreux sont les tests qui ont été menés par les communautés de photographes, les guides de consommateurs et les utilisateurs. Qu’ont-ils à dire ou à redire sur Calvendo ? La réponse à travers quelques tests et des expériences utilisateurs :
www.fotokalender.org, une mine d’infos pour tous ceux qui s’intéressent à la création de calendriers, dégaine les pouces pour Calvendo, affirmant qu’il s’agit “d’une opportunité pour les photographes ambitieux qui souhaitent commercialiser leurs images sous forme de calendriers par la filière de l’édition.” Ils apprécient notre éditeur en ligne, ajoutant qu’il est “facile d’utilisation et propose de nombreuses options”. Last but not least, leur test en profite pour souligner quelques bonus : pas de frais à engager pour les utilisateurs (et donc pas de risque), une FAQ bien fournie et un bon accompagnement du jury qui contrôle chacun des calendriers sur la plateforme.
Le webzine maniax.cc a aussi passé Calvendo en revue : le magazine en ligne a testé notre offre, avec mention spéciale et plus que positive à notre jury (dont nous ne sommes pas peu fiers) qui passe au crible chacun des calendriers, y apportant son expertise, son bon sens et in fine son approbation. Excellente surprise du côté de l’impression qui a su convaincre le webzine. D’aucuns ne démordent pas de l’offset, mais Calvendo a su démontrer que l’impression numérique n’est pas le parent pauvre de l’impression : « la qualité d’impression est étonnamment bonne et n’a pas à rougir de la comparaison avec les calendriers imprimés sur offset”. Maniax.cc conclue son test en disant que Calvendo “offre une opportunité pour produire et vendre des calendriers de grande qualité sans avoir à débourser quoi que ce soit”.
Nous en profitons pour mentionner le verdict de www.best-practice-business.de : dans leur test en ligne, Calvendo reçoit cinq étoiles sur cinq pour établir “de nouveaux standards dans le monde de l’auto-édition de calendriers”. Le site insiste sur le potentiel de la plateforme pour les utilisateurs professionnels comme amateurs qui veulent tester leur idées sur Calvendo tout en générant une nouvelle source de revenus.
Un autre site, testberichte.de, spécialisé dans les tests et comparatifs de services aux consommateurs, a attribué un “très bien” à Calvendo. Nous avons des retours similaires de la part de nos utilisateurs (d’autant plus importants !) que nous avons interrogés cet été : les deux tiers aiment publier avec Calvendo et plus de 70 % recommandent la plateforme à leur famille ou à leurs amis. Et vous pouvez être sûr que nous resterons à l’écoute des utilisateurs !
Photographe chevronné, Alain Hanel a roulé sa bosse et son appareil photo sur les planches du théâtre, les scènes de l’opéra, les arènes du cirque et s’aventure maintenant sur la plateforme Calvendo.
Entretien avec l’un de nos auteurs les plus prolifiques.
Pouvez-vous nous parler de votre parcours de photographe ?
J’ai commencé comme assistant dans les années 1970. J’ai eu la chance de travailler avec des photographes qui sont aujourd’hui des maîtres. Je m’étais tout d’abord orienté vers la publicité, mais j’ai très vite dérapé vers la photographie de mode. À mon retour du service militaire, l’ambiance dans les studios n’était plus la même. J’ai délaissé la photo pour embrasser l’univers de l’image, de toute l’image : de la mise en page à la direction artistique d’agence, sans oublier la télévision, le cinéma et l’industrie du disque, pour laquelle j’ai créé le premier studio de création. A 50 ans, c’est par hasard que je suis revenu à la photographie, riche de la maturité et de l’expérience nécessaires dans ce nouveau métier. Je n’ai pas choisi le secteur le plus facile : le spectacle. Mais en 2008, Nikon m’a invité à faire leur pro-Tour et c’est reparti de plus belle. Aujourd’hui, me voilà donc photographe de spectacle et de scène.
Alain Hanel, Anna Karenina de Boris Eifman Continuer la lecture